Cet article est destiné principalement aux victimes de PNM, de viols, d’abus sexuels durant l’enfance (dont les victimes de prostitution en réseau), d’abus de tous types, et apporte aussi des solutions pratiques pour se soigner du syndrome du stress post-traumatique inhérent à ces abus, autant que pour les cas de traumatismes ayant d’autres sources (victimes de guerres, d’attentats, etc.).
Il va couvrir ces différents sujets :
Il va couvrir ces différents sujets :
1) Les Pervers Narcissiques Manipulateurs (PNM) & leur nature psychotique.
Les différents types de PNM selon la gravité de leurs symptômes.
2) Les conséquences des abus narcissiques & des désordres complexes dus au Stress Post-traumatique.
2) Les conséquences des abus narcissiques & des désordres complexes dus au Stress Post-traumatique.
3) Les Troubles Complexes du Stress Post-traumatique
4) Le traitement pour les victimes d’abus narcissiques
- La métacognition.
-L’EMDR
-L'EFT
-La méditation introspective ou Vipassana
5) Aides & conseils aux victimes d’abus de PNM & de désordres complexes du Stress Post-traumatique ainsi qu'aux aidants
1) Les Pervers Narcissiques Manipulateurs (PNM) & leur nature psychotique :
Le narcissisme pervers comprend différents troubles psychiatriques dont :
Des désordres dus à leur nature sociopathe, comme la mégalomanie, la mythomanie, l’agressivité (qui peut être passive/agressive), le manque total d’empathie voire le sadisme.
Les PNM sont toujours prêts à élever le niveau d’hostilité dans une relation afin de déshumaniser les gens qu’ils sélectionnent pour être leurs victimes (leurs boucs émissaires), dont ils usent et abusent comme des objets à leur disposition. Comme ils estiment les gens comme leur appartenant, ils considèrent que c'est normal. Ils n'ont pas les moyens de se regarder en face, vivant dans l'illusion de leur supériorité en tout sur le restant du monde : Le matérialisme spirituel poussé à l'extrême.
Ils justifient leur abus, tortures et domination (qui peuvent être physiques, sexuelles, mais aussi mentales), manipulations et exploitations d’autrui comme acceptables parce qu’ils estiment avoir le droit de faire ce qu’ils veulent de leurs victimes, allant jusqu'au meurtre si nécessaire pour les plus atteints.
Ce système de pensée découle de leur manque total d’empathie, elle-même venant d'un manque d'amour propre. C’est aussi une caractéristique des psychopathes. Les deux termes sont en réalité utilisés pour qualifier les mêmes personnes, quoique les PNM, contrairement aux psychopathes, soient parfaitement conscients de la différence entre vrai ou faux, réel ou faux-semblant, et donc le bien et le mal. La différence avec le sociopathe est qu'ils ne peuvent s'en empêcher, même s'ils le savent.
Les PNM choisissent consciemment d’adopter une version des faits qui les avantage, retournant les situations, les faits et les dires selon leurs désirs et projections mentales, ce qui les rend finalement bien plus dangereux et cruels que les psychopathes, qui ne peuvent se soigner, alors qu'eux le pourraient s'ils le voulaient. Mais c'est rarement le cas.
Ils justifient leur abus, tortures et domination (qui peuvent être physiques, sexuelles, mais aussi mentales), manipulations et exploitations d’autrui comme acceptables parce qu’ils estiment avoir le droit de faire ce qu’ils veulent de leurs victimes, allant jusqu'au meurtre si nécessaire pour les plus atteints.
Ce système de pensée découle de leur manque total d’empathie, elle-même venant d'un manque d'amour propre. C’est aussi une caractéristique des psychopathes. Les deux termes sont en réalité utilisés pour qualifier les mêmes personnes, quoique les PNM, contrairement aux psychopathes, soient parfaitement conscients de la différence entre vrai ou faux, réel ou faux-semblant, et donc le bien et le mal. La différence avec le sociopathe est qu'ils ne peuvent s'en empêcher, même s'ils le savent.
Les PNM choisissent consciemment d’adopter une version des faits qui les avantage, retournant les situations, les faits et les dires selon leurs désirs et projections mentales, ce qui les rend finalement bien plus dangereux et cruels que les psychopathes, qui ne peuvent se soigner, alors qu'eux le pourraient s'ils le voulaient. Mais c'est rarement le cas.
Les PMN sont des manipulateurs :
Leurs illusions sont au service des stratagèmes qui les arrangent, faisant d’eux des caméléons qui peuvent changer de déguisement, d’attitude et même de convictions au besoin, capables de dire tout et son contraire dans la même phrase.
Les PNM tentent toujours de convertir leurs relations sociales à leur point de vue :
Ils essaient de conditionner leurs proches à les voir sous un jour positif qui contribue ainsi à renforcer leurs illusions sur eux-mêmes. Pour ce faire, ils n’hésiteront pas régulièrement à se contredire tout seuls, à mentir même face à l'évidence ou à piétiner autrui sans le moindre scrupule.
L’humiliation est une arme dont ils se servent souvent, surtout si elle est publique, car elle renforcera l’illusion de leur supériorité sur leur entourage hypnotisé.
Ne croyez jamais un mot de ce qu’ils racontent, si leurs lèvres remuent c’est parce qu’ils mentent :
Ils contrediront les faits, nieront l’évidence, mentiront au sujet de choses faites avec vous, et déformeront vos propos. Si vous n’êtes pas d’accord avec leur version des faits, ils retourneront les faits contre vous, affirmeront sans ciller que vous mentez, vous traiteront de fou/folle, allant jusqu’à inventer des faits, ou vous mettre des paroles en bouche jamais prononcées par vous pour vous en convaincre ou convaincre autrui que vous êtes le problème. Que c'est vous le PNM !
Leurs illusions sont au service des stratagèmes qui les arrangent, faisant d’eux des caméléons qui peuvent changer de déguisement, d’attitude et même de convictions au besoin, capables de dire tout et son contraire dans la même phrase.
Les PNM tentent toujours de convertir leurs relations sociales à leur point de vue :
Ils essaient de conditionner leurs proches à les voir sous un jour positif qui contribue ainsi à renforcer leurs illusions sur eux-mêmes. Pour ce faire, ils n’hésiteront pas régulièrement à se contredire tout seuls, à mentir même face à l'évidence ou à piétiner autrui sans le moindre scrupule.
L’humiliation est une arme dont ils se servent souvent, surtout si elle est publique, car elle renforcera l’illusion de leur supériorité sur leur entourage hypnotisé.
Ne croyez jamais un mot de ce qu’ils racontent, si leurs lèvres remuent c’est parce qu’ils mentent :
Ils contrediront les faits, nieront l’évidence, mentiront au sujet de choses faites avec vous, et déformeront vos propos. Si vous n’êtes pas d’accord avec leur version des faits, ils retourneront les faits contre vous, affirmeront sans ciller que vous mentez, vous traiteront de fou/folle, allant jusqu’à inventer des faits, ou vous mettre des paroles en bouche jamais prononcées par vous pour vous en convaincre ou convaincre autrui que vous êtes le problème. Que c'est vous le PNM !
Les PNM vont créer des problèmes quotidiennement pour leur victime/Bouc émissaire, qui devra ensuite en payer les conséquences tout en étant traité d’incompétent, de nul, de faignant, etc.…
Ils créeront des drames les touchant, et feront en sorte de vous y engouffrer aussi (souvent en vous culpabilisant) pour mieux vous manipuler à résoudre les problèmes qu’ils ont créés.
Pour ce faire, ils n’hésiteront pas à vous faire douter de vous jusqu’à vous questionner sur votre santé mentale, pour vous faire endosser les erreurs dont ils sont responsables, car ils considèrent en être exempts et ne peuvent accepter qu’ils puissent avoir des troubles psychiatriques.
En anglais, ça s’appelle le gaslighting (du film de George Cukor : Gaslight).
Il n’y a pas d’équivalent en français malheureusement.
Ils créeront des drames les touchant, et feront en sorte de vous y engouffrer aussi (souvent en vous culpabilisant) pour mieux vous manipuler à résoudre les problèmes qu’ils ont créés.
Pour ce faire, ils n’hésiteront pas à vous faire douter de vous jusqu’à vous questionner sur votre santé mentale, pour vous faire endosser les erreurs dont ils sont responsables, car ils considèrent en être exempts et ne peuvent accepter qu’ils puissent avoir des troubles psychiatriques.
En anglais, ça s’appelle le gaslighting (du film de George Cukor : Gaslight).
Il n’y a pas d’équivalent en français malheureusement.
La majorité des PNM ont-eux aussi été victimes (& vous le rappelleront souvent pour mieux vous manipuler) : Bien que ce soit une conséquence compréhensible, leurs actes et paroles souvent injustes à l’encontre de leur(s) victime(s) innocente(s) restent parfaitement inacceptables, et doivent être questionnées et même combattus : Rien ne justifie un tel traitement.
La majorité des humains à l’heure actuelle, dans un monde aussi matérialiste et traumatisant, ont développé au moins en partie des tactiques manipulatrices comme moyen de défense, &/ou un narcissisme pour renforcer leur ego s'il a été continuellement blessé, surtout dans l'enfance.
La majorité des humains à l’heure actuelle, dans un monde aussi matérialiste et traumatisant, ont développé au moins en partie des tactiques manipulatrices comme moyen de défense, &/ou un narcissisme pour renforcer leur ego s'il a été continuellement blessé, surtout dans l'enfance.
Dans le cas des simples narcissiques, on parle d’histrionisme.
La différence entre simples manipulateurs, histrioniques et le PNM poussé au paroxysme étant qu'ils ne possèdent pas d'aspect pervers. Une fois la conscience des dégâts causés, les histrioniques auront un désir de changer pour ne plus causer de tort à autrui : Ils/elles ont une conscience, à contrario du PNM qui n'aura jamais aucun scrupule... Puisqu'il/elle est parfait et n'a donc rien à changer !
Selon l'étude d'Isabelle Nazare Aga*, il y aurait 30 critères pour reconnaître un PNM.
Tous les PNM ne possèdent pas forcément tous ces critères, mais ceux qui sont passés à l'acte par la violence &/ou les viols & les meurtres les possèdent tous.
Ces critères sont :
- Culpabilise les autres au nom du lien familial, de l’amitié, de l’amour, de la conscience professionnelle...
- Reporte sa responsabilité sur les autres, ou se démet des siennes
- Ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions
- Répond très souvent de façon floue
- Change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations
- Invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes
- Fait croire aux autres qu’ils doivent être parfaits, qu’ils ne doivent jamais changer d’avis, qu’ils doivent tout savoir et répondre immédiatement aux demandes et questions
- Met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres : il critique sans en avoir l’air, dévalorise et juge à l'emporte pièce
- Fait faire ses messages par autrui
- Sème la zizanie et crée la suspicion, divise pour mieux régner
- Sait se placer en victime pour qu’on le plaigne en ignorant les dégâts causés à ses victimes
- Ignore les demandes même s’il dit s’en occuper
- Utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins
- Menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert
- Change carrément de sujet au cours d’une conversation
- Évite ou s’échappe de l’entretien, de la réunion
- Mise sur l’ignorance des autres et fait croire en sa supériorité
- Ment
- Prêche le faux pour savoir le vrai
- Est égocentrique
- Peut être jaloux
- Ne supporte pas la critique et nie les évidences
- Ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres
- Utilise souvent le dernier moment pour ordonner ou faire agir autrui
- Son discours paraît logique ou cohérent alors que ses attitudes répondent au schéma opposé
- Flatte pour vous plaire, fait des cadeaux, se met soudain aux petits soins pour vous séduire
- Produit un sentiment de malaise ou de non-liberté
- Est parfaitement efficace pour atteindre ses propres buts mais aux dépens d’autrui
- Nous fait faire des choses que nous n’aurions probablement pas faites de notre propre gré
- Fait constamment l’objet des conversations, même lorsqu'il ne sont pas là
Pour comprendre en détail les différents types de narcissiques :
Ultra (sociopathes complets), les semi-narcissiques (soit tendance ultra soit les inconscients), ainsi que les moins dangereux (ceux soignables), je recommande fortement aux anglophones le site de HG Tudor, autoproclamé narcissique ultra, qui nous montre sans artifices ce qu'ils sont, et donne des conseils aux empathes qui constituent la majorité de leurs victimes, soit sur sa chaîne Youtube ici : https://www.youtube.com/c/HGTudorKnowingTheNarcissistUltra
Soit directement sur son site : https://narcsite.com/the-knowledge-vault/
Attention ! Ses témoignages sont glaçants, alors qu'il se voit, ainsi que ses semblables, littéralement comme un vampire énergétique, et ses victimes comme de la "nourriture". Dixit.
Étant descendant direct d'une grande famille de sociopathes, ce n'est pas étonnant et explique bon nombre de crimes commis par les élites, qui sont tous des PNM ultra. Ça fait parti de leur conditionnement pour passer des lois qui tuent, volent et abusent de la faiblesse d'autrui.
2) Conséquences des abus narcissiques & des désordres complexes dus au Stress Post-traumatique :
Les victimes de PNM ressentent couramment des sentiments envahissants de culpabilité, de honte et de désespoir. Tous ces sentiments non désirés aboutissent souvent à des attaques de panique, d’anxiété, de détresse, de dépression, des troubles du poids et de l’alimentation, des troubles psychosomatiques, des comportements autodestructeurs, et même au suicide*.
Ces victimes expérimentent des abus à tous les niveaux d’eux-mêmes : Mentaux, physiques, émotionnels, et même spirituels.
Ces victimes expérimentent des abus à tous les niveaux d’eux-mêmes : Mentaux, physiques, émotionnels, et même spirituels.
Pratiquement rien n’a été écrit dans les rapports psychiatriques sur les victimes de PNM et les conséquences de ces abus sur ces victimes : Jusqu’à présent, la majorité des psys n’ont toujours pas posé de questions sur, par exemple, ce que les victimes de PNM ont en commun ni quelles sont les causes de tant de détresse, quoique récemment les dégâts de ces sociopathes soient de plus en plus connus. Car ces victimes montrent des signes de traumas émotionnels et psychologiques, que n’importe quel thérapeute est censé connaître comme les résultats d’évènements stressants qui ont détruit leur sentiment de sécurité et d'estime de soi, les laissant vulnérables et sans défense.
Il y a heureusement quelques professionnels, qui expliquent les conséquences souvent létales de ces abus, comme les docteurs Muriel Salmona ou Boris Cyrulnik.
* Technique notamment utilisée par des trolls/agents de l’État pour en finir avec des "dissidents", voir la triste affaire de Corinne Gouget, qui a perdu la garde de ses deux filles au profit de leur père violeur en Angleterre alors qu'elle devenait une pointure du combat anti Big Pharma.
Il y a heureusement quelques professionnels, qui expliquent les conséquences souvent létales de ces abus, comme les docteurs Muriel Salmona ou Boris Cyrulnik.
* Technique notamment utilisée par des trolls/agents de l’État pour en finir avec des "dissidents", voir la triste affaire de Corinne Gouget, qui a perdu la garde de ses deux filles au profit de leur père violeur en Angleterre alors qu'elle devenait une pointure du combat anti Big Pharma.
On peut noter qu’il y a une véritable épidémie de Perversion Narcissique dans le monde actuel, mais par manque d’information, la plupart des thérapeutes n’ont aucune connaissance dans ce domaine, en particulier en ce qui concerne leurs victimes, affligées de troubles complexes du Stress Post-traumatique (qui est toujours le cas pour les victimes de réseaux de prostitution, mais peut être aussi dû à des abus physiques et mentaux sans issue durant l'enfance, dans le cadre familial ou institutionnel).
Il est important de réaliser les différences de niveau d’abus que les victimes de PNM ont pu subir :
Il y a une différence entre les victimes qui n’auront subies qu’un trauma unique (ce qui reste très rare) et celles qui auront subies des traumas répétés (la majorité d’entre nous), mais aussi de celles qui du fait de leur jeune âge, n’ont aucune échappatoire pendant des années.
Il y a une différence entre les victimes qui n’auront subies qu’un trauma unique (ce qui reste très rare) et celles qui auront subies des traumas répétés (la majorité d’entre nous), mais aussi de celles qui du fait de leur jeune âge, n’ont aucune échappatoire pendant des années.
3) Les Troubles complexes du Stress Post-traumatique :
Certaines victimes développent ce qu’on appelle des Troubles Complexes du Stress Post-traumatique. Les désordres complexes du Stress Post-traumatique sont des blessures psychologiques et émotionnelles dues à une exposition prolongée à des évènements traumatiques (causés par des PNM qui constituent la majorité des violeurs et des bourreaux), avec perte ou manque de moyen viable d’en réchapper pour la victime.
Ce sont des problèmes d’ordre émotionnel et social qui durent longtemps après les avoir vécu, et qui résultent par exemple, de l’abandon d’enfant, d’abus émotionnels, psychologiques, physiques &/ou sexuels d’enfant (et d’adulte), de violations répétées de l’intimité, de chosification &/ou de harcèlement durable, d’exposition régulière à l’humiliation, à de fausses accusations &/ou d’injustices, et d’exposition à des conditions de crises émotionnelles coutumières des familles PNM (un seul PNM dans une famille peut provoquer des dégâts considérables sur toute la famille).
Mais ces troubles peuvent aussi résulter du fait de s’occuper pendant longtemps de membres mentalement ou chroniquement malades de notre famille, car il y a souvent impossibilité de pouvoir exprimer ses émotions du fait de la culpabilité qui en découle immanquablement.
Mais ces troubles peuvent aussi résulter du fait de s’occuper pendant longtemps de membres mentalement ou chroniquement malades de notre famille, car il y a souvent impossibilité de pouvoir exprimer ses émotions du fait de la culpabilité qui en découle immanquablement.
Sa propre peine étant toujours secondaire, devient une fatalité sans autre issue qu’une autre fatalité entraînant un cercle vicieux de culpabilité : La perte du proche.
Les victimes de désordres complexes du Stress Post-traumatique montrent des signes de difficultés comportementales comme l’impulsivité, l’agressivité, le contrôle issu de l'anxiété (les deux derniers pouvant les faire confondre avec des PNM alors qu'ils en sont victimes), mais aussi les comportements autodestructeurs comme les abus de drogues, d’alcool, ou de médicaments, et les comportements sexuels anormaux (trop ou pas assez en résumé), l’isolement, les difficultés relationnelles et émotionnelles extrêmes telles que la rage, les attaques de panique ou la dépression chronique, et des difficultés mentales telles que la fragmentation de la pensée, la dissociation et l’amnésie traumatique. Ces handicaps peuvent durer des années, voire une vie si non traités. Les victimes de désordres complexes du Stress Post-traumatique qui ont été piégées dans des situations où elles n’avaient plus aucun contrôle, peuvent souvent ressentir de la terreur longtemps après avoir vécu ces traumatismes. …Parce qu’elles savent que des choses terribles peuvent encore arriver, voire être même pires qu’avant. Ce n'est pas toujours le cas, mais l'anxiété est toujours là avant d'établir des liens de confiance.
Les personnes souffrant de désordres complexes du Stress Post-traumatique peuvent souvent se sentir instables et fragiles, comme si elles allaient à tout moment s’écrouler émotionnellement.
Elles peuvent aussi se sentir (parfois à tort) non aimées, mais aussi que tout ce qu’elles accompliront ne satisfera jamais autrui. La culpabilité suit généralement.
Elles peuvent souvent se sentir contraintes à vivre seules, pour que personnes ne soient témoins de leur détresse, et/ou d’autres malheurs qui risquent encore d’arriver dans leur vie.
Ils ont des difficultés à créer des liens de proximité, de peur de les perdre si une autre catastrophe leur tombait dessus. Beaucoup ont des difficultés à fonder leur propre famille.
Distorsions et perturbations incontrôlables des liens d’attachement précèdent bien souvent le développement d’un Syndrome Complexe des Désordres du Stress Post-traumatique.
Ils ont des difficultés à créer des liens de proximité, de peur de les perdre si une autre catastrophe leur tombait dessus. Beaucoup ont des difficultés à fonder leur propre famille.
Distorsions et perturbations incontrôlables des liens d’attachement précèdent bien souvent le développement d’un Syndrome Complexe des Désordres du Stress Post-traumatique.
Des adultes autant que des enfants sont capables de développer des liens d’attachement très fort avec celui ou celle qui les menace, les harcèle, les torture, les frappe et souvent même les viole.
La majorité des pédophiles créent des liens étroits en offrant des cadeaux et des attentions diverses à l’enfant/victime pour créer un sentiment de culpabilité si elle les dénonçait pour leurs abus. C'est très souvent le cas dans les incestes, où l'ascendance met une pression intolérable et ingérable sur l'enfant.
La persistance et l’âge auquel ils auront été traumatisé, de ces liens d’attachement peut mener à une confusion entre la douleur et l’amour, ce qui peut créer des troubles comportementaux et hypersexuels plus tard, comme la toxicomanie, la nymphomanie et le sadomasochisme, même psychologique.
On peut alors parler de Syndrome de Stockholm, sur lequel s'appuie par ailleurs toute la relation viciée entre le bourreau et sa victime, notamment dans le cas d'abus pedosataniques, car elle permet une emprise essentielle pour le contrôle mental de la victime. Ceci dit, il n'est pas nécessaire d'avoir été victime de ces réseaux pour en souffrir, un inceste ou un viol durant l'enfance ou l'adolescence peut suffire à développer ces syndromes qui peuvent durer longtemps, voire toute une vie, la victime changeant de bourreau, étant naturellement attirée par ce genre d'abuseur, car elle ne connaît que ça.
Le film "Portier de nuit" en est le parfait exemple :
La majorité des pédophiles créent des liens étroits en offrant des cadeaux et des attentions diverses à l’enfant/victime pour créer un sentiment de culpabilité si elle les dénonçait pour leurs abus. C'est très souvent le cas dans les incestes, où l'ascendance met une pression intolérable et ingérable sur l'enfant.
La persistance et l’âge auquel ils auront été traumatisé, de ces liens d’attachement peut mener à une confusion entre la douleur et l’amour, ce qui peut créer des troubles comportementaux et hypersexuels plus tard, comme la toxicomanie, la nymphomanie et le sadomasochisme, même psychologique.
On peut alors parler de Syndrome de Stockholm, sur lequel s'appuie par ailleurs toute la relation viciée entre le bourreau et sa victime, notamment dans le cas d'abus pedosataniques, car elle permet une emprise essentielle pour le contrôle mental de la victime. Ceci dit, il n'est pas nécessaire d'avoir été victime de ces réseaux pour en souffrir, un inceste ou un viol durant l'enfance ou l'adolescence peut suffire à développer ces syndromes qui peuvent durer longtemps, voire toute une vie, la victime changeant de bourreau, étant naturellement attirée par ce genre d'abuseur, car elle ne connaît que ça.
Le film "Portier de nuit" en est le parfait exemple :
Les traumas peuvent être inconsciemment répétés au niveau émotionnel, mental, physiologique et comportemental :
La colère redirigée contre soi est un problème majeur dans la vie d’une personne qui a été violentée, ce qui explique le nombre élevé d’enfants violés qui devenus adultes seront délinquants, drogués, prostitués, en psychiatrie, voire suicidés. Cette colère auto dirigée est en soi-même la répétition d’évènements passés et souvent aussi néfaste que le ou les traumas initiaux.
La colère redirigée contre soi est un problème majeur dans la vie d’une personne qui a été violentée, ce qui explique le nombre élevé d’enfants violés qui devenus adultes seront délinquants, drogués, prostitués, en psychiatrie, voire suicidés. Cette colère auto dirigée est en soi-même la répétition d’évènements passés et souvent aussi néfaste que le ou les traumas initiaux.
La répétition compulsive de traumas est un processus habituellement inconscient du fait de la dissociation causée au moment du ou des traumas initiaux qui, même s’il peut temporairement apporter un sentiment de maîtrise (car on se l’inflige soi-même), voire même de plaisir dans certains cas (masochisme), ultimement perpétuera un sentiment chronique de désespoir et de perte de contrôle sur sa propre vie.C'est là que le désir d'en "finir" intervient, et peut pousser la victime au pire...
Les personnes souffrant de désordres complexes du Stress Post-traumatique peuvent tenter de réprimer leurs réactions émotionnelles à ces évènements traumatiques sans résolution, parce qu’elles ne voient aucune opportunité leur permettant une résolution satisfaisante.
C’est à ce moment que les sentiments de désespoir et de perte de contrôle apparaissent généralement. Beaucoup sombrent dans la dépression chronique ou les idées suicidaires.
C’est à ce moment que les sentiments de désespoir et de perte de contrôle apparaissent généralement. Beaucoup sombrent dans la dépression chronique ou les idées suicidaires.
Reprendre le contrôle de sa vie actuelle, au lieu de répéter les humeurs, pensées ou états somatiques traumatiques passés, est le moyen de se soigner.
4) Traitement pour les victimes d’abus narcissiques:
- La Métacognition
On trouve peu d’études dans les traitements cliniques concernant les désordres de stress post-traumatique. La métacognition semble donner de bons résultats thérapeutiques pour ceux qui tentent de se soigner du stress post-traumatique, même complexe.
Pour l’expliquer en termes simples, la métacognition est l’action de réfléchir à ses propres pensées.
Pour être plus précis c’est le processus utilisé pour planifier, vérifier & assister nos propres performances cognitives, & donc notre compréhension de notre environnement.
Pour l’expliquer en termes simples, la métacognition est l’action de réfléchir à ses propres pensées.
Pour être plus précis c’est le processus utilisé pour planifier, vérifier & assister nos propres performances cognitives, & donc notre compréhension de notre environnement.
La métacognition est le nouveau mot qui fait le « buzz » dans les milieux d’étude de la psychologie, mais qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?
La métacognition se réfère à une méthode de penser « supérieure », qui implique le contrôle actif sur les processus cognitifs engagés lorsque nous apprenons & nous éduquons (souvent au contact d’autrui).
Les survivants d’abus par un PNM peuvent apprendre à se soigner des traumas qui leur ont été infligés avec cette méthode, car la métacognition joue un rôle clé curatif dans la compréhension de notre environnement & des moyens pour résoudre les problèmes émotionnels & relationnels qui y sont liés. Elle est employée pour assister les victimes d’abus par des PNM.
Des activités éducationnelles telles que vérifier ses propres pensées & émotions, & évaluer notre objectivité ainsi que les progrès effectués lors de ce processus de compréhension du monde qui nous entoure, sont de nature métacognitive.
La métacognition a été liée à l’intelligence, & il a été démontré que ceux & celles qui avaient une faculté plus importante pour la métacognition étaient de plus habiles penseurs.
La métacognition se réfère à une méthode de penser « supérieure », qui implique le contrôle actif sur les processus cognitifs engagés lorsque nous apprenons & nous éduquons (souvent au contact d’autrui).
Les survivants d’abus par un PNM peuvent apprendre à se soigner des traumas qui leur ont été infligés avec cette méthode, car la métacognition joue un rôle clé curatif dans la compréhension de notre environnement & des moyens pour résoudre les problèmes émotionnels & relationnels qui y sont liés. Elle est employée pour assister les victimes d’abus par des PNM.
Des activités éducationnelles telles que vérifier ses propres pensées & émotions, & évaluer notre objectivité ainsi que les progrès effectués lors de ce processus de compréhension du monde qui nous entoure, sont de nature métacognitive.
La métacognition a été liée à l’intelligence, & il a été démontré que ceux & celles qui avaient une faculté plus importante pour la métacognition étaient de plus habiles penseurs.
La plupart des définitions de la métacognition incluent les composants de la connaissance & de la stratégie. La connaissance est métacognitive si elle utilise des moyens stratégiques pour s’assurer de sa justesse. La métacognition est donc la faculté de penser à ses pensées. Elle permet d’atteindre nos buts (de soins par ex.) en surveillant & régulant nos processus cognitifs. Elle est essentielle pour la planification, l’évaluation & la résolution de problèmes.
Mettre la métacognition en pratique :
Encourager les victimes à examiner leur processus de pensée courant :
Savoir pourquoi on a été victime d’un ou une PNM nous aidera à nous en soigner.
Savoir pourquoi on a été victime d’un ou une PNM nous aidera à nous en soigner.
Donner aux victimes des pratiques pour identifier les mémoires douloureuses :
Qu’est-ce qui est le plus douloureux dans le fait de se souvenir d’évènements traumatisants ? Le fait qu’on ait été victime ou qu’on s’en sente responsable (quel que soit l’âge) ?
Qu’est-ce qui est le plus douloureux dans le fait de se souvenir d’évènements traumatisants ? Le fait qu’on ait été victime ou qu’on s’en sente responsable (quel que soit l’âge) ?
Aider les victimes à reconnaître des changements conceptuels :
Avant de commencer à comprendre mes pensées, je dois reconnaître que je n’ai pas été torturé(e) parce que je le méritais, mais parce que j’ai été victime d’un/e (ou plusieurs) PNM, qui ont abusé de ma naïveté, mon empathie, ma générosité, etc. Je peux maintenant reconnaître que j’ai le choix de savoir comment ma manière de penser & de me percevoir peut changer -ou ne pas changer- dans le temps. Expliqué brièvement, la connaissance de notre soi se réfère à la manière générale dont l’être humain apprend à traiter une information, de même que son propre entendement de la manière dont il comprend les choses.
Avant de commencer à comprendre mes pensées, je dois reconnaître que je n’ai pas été torturé(e) parce que je le méritais, mais parce que j’ai été victime d’un/e (ou plusieurs) PNM, qui ont abusé de ma naïveté, mon empathie, ma générosité, etc. Je peux maintenant reconnaître que j’ai le choix de savoir comment ma manière de penser & de me percevoir peut changer -ou ne pas changer- dans le temps. Expliqué brièvement, la connaissance de notre soi se réfère à la manière générale dont l’être humain apprend à traiter une information, de même que son propre entendement de la manière dont il comprend les choses.
Exemple d’un exercice simple de métacognition :
Questions à se poser …Si on se sent insulté, humilié ou menacé :
1) Quelles sont les preuves ? Comment je le sais : Preuves réelles ? « On-dit », spéculation ? Est-ce que je connais toute la vérité ? Je dois faire confiance en mon intuition, pas ma peur d'autrui.
2) Point(s) de vue alternatifs : Les personnes en qui j’ai confiance ont-elles la même interprétation que la mienne ? Mes conclusions sont-elles précipitées ? Mon évaluation est-elle objective & juste ?
Plusieurs preuves seront nécessaires pour établir mes doutes : Toujours confirmer sans se mentir.
Plusieurs preuves seront nécessaires pour établir mes doutes : Toujours confirmer sans se mentir.
3) Même si c’est le cas… Ma réaction est-elle excessive ? Mes réactions sont-elles appropriées ? Vais-je tout gâcher dans le futur si j’exagère mes réactions ? Penser d’abord & ensuite agir ! Mais si on doit agir (en cas de danger), il faudra le faire aussi vite & intelligemment que possible.
- L’EMDR :
C’est une méthode qui utilise la relation yeux/cerveau pour rétablir les fonctions cognitives qui ont été perturbées lors d’évènements traumatiques.
Selon différents sites sur le sujet, on comprend que l’EMDR semble agir directement sur le fonctionnement neurologique en rétablissant la capacité du cerveau à traiter l’information :
Selon différents sites sur le sujet, on comprend que l’EMDR semble agir directement sur le fonctionnement neurologique en rétablissant la capacité du cerveau à traiter l’information :
"Après les sessions d’EMDR, les images, les sons, les sensations et les émotions envahissantes initiales ne sont plus réactivés lorsque la personne repense à l’événement. On se rappelle encore de l’événement, mais sans la détresse intense.
On pense que l’EMDR agit de la même manière que la phase de rêve, pendant laquelle les yeux bougent rapidement, ce qui vient faciliter la «digestion» du matériel emmagasiné lors de nos expériences.
On peut donc considérer que l’EMDR est une thérapie ayant des bases physiologiques permettant d’en arriver à concevoir les souvenirs perturbateurs sous un angle nouveau et avec moins de détresse, voire sans détresse… "
Selon le modèle de Francine Shapiro, l’information liée au traumatisme serait stockée de manière fragmentée (des images, des sons, des odeurs,…) au niveau cérébral, et ces différents fragments ne seraient pas reliés entre eux, ce qui empêcherait l’intégration (le «classement», la «digestion», «synthèse») du trauma dans la mémoire. Francine Shapiro observe que dans le fonctionnement normal, le cerveau est tout à fait capable de traiter des informations chargées émotionnellement, et elle postule l’existence d’un système de traitement d’information spécifique, traitant les souvenirs traumatiques (2/3 des personnes qui ont vécu un traumatisme unique moyennement intense peuvent digérer ce souvenir de manière spontanée sans aide thérapeutique) »... « Ce système de Traitement d’Information Adaptatif (TIA) ne fonctionnerait pas chez certaines personnes et, dans ce cas, il pourrait être sous l’effet de la stimulation rythmique bilatérale de l’EMDR. Une fois activé, ce système traiterait de manière accélérée le matériel traumatique. Ainsi, les affects négatifs sont désensibilisés et des informations adaptatives surgissent spontanément. C’est donc le patient ou quelque chose en lui qui, par la stimulation, déclenche ce processus de traitement avec l’aide du thérapeute… ».*
On pense que l’EMDR agit de la même manière que la phase de rêve, pendant laquelle les yeux bougent rapidement, ce qui vient faciliter la «digestion» du matériel emmagasiné lors de nos expériences.
On peut donc considérer que l’EMDR est une thérapie ayant des bases physiologiques permettant d’en arriver à concevoir les souvenirs perturbateurs sous un angle nouveau et avec moins de détresse, voire sans détresse… "
Selon le modèle de Francine Shapiro, l’information liée au traumatisme serait stockée de manière fragmentée (des images, des sons, des odeurs,…) au niveau cérébral, et ces différents fragments ne seraient pas reliés entre eux, ce qui empêcherait l’intégration (le «classement», la «digestion», «synthèse») du trauma dans la mémoire. Francine Shapiro observe que dans le fonctionnement normal, le cerveau est tout à fait capable de traiter des informations chargées émotionnellement, et elle postule l’existence d’un système de traitement d’information spécifique, traitant les souvenirs traumatiques (2/3 des personnes qui ont vécu un traumatisme unique moyennement intense peuvent digérer ce souvenir de manière spontanée sans aide thérapeutique) »... « Ce système de Traitement d’Information Adaptatif (TIA) ne fonctionnerait pas chez certaines personnes et, dans ce cas, il pourrait être sous l’effet de la stimulation rythmique bilatérale de l’EMDR. Une fois activé, ce système traiterait de manière accélérée le matériel traumatique. Ainsi, les affects négatifs sont désensibilisés et des informations adaptatives surgissent spontanément. C’est donc le patient ou quelque chose en lui qui, par la stimulation, déclenche ce processus de traitement avec l’aide du thérapeute… ».*
Comment ça marche ? REM (Rapid Eye Movement – Mouvements oculaires rapides) :
“Une des premières hypothèses avancées pour expliquer l’efficacité de l’EMDR a été de pointer sa similitude avec la phase de sommeil paradoxal (pendant laquelle ont lieu les rêves et les REM). Cette hypothèse a été réétudiée par Stickgold (1998). Cet auteur a étudié tant la consolidation des pensées durant le sommeil, que la pathologie de l’état de stress post-traumatique et son traitement par l’EMDR. Après avoir réalisé des milliers d’analyse de rêves, Stickgold affirme, que lors du rêve, du matériel faiblement associatif provenant du néocortex est transféré durant la phase de sommeil paradoxal, vers l’hippocampe. A l’inverse, durant les autres phases du sommeil, du matériel fortement associatif de l’hippocampe est transféré vers le néocortex. Ce double transfert affaiblit les associations fortes des souvenirs spécifiques et permet ainsi la formation de souvenirs sémantiques plus généraux et affectivement affaiblis. Dans l’état de stress post-traumatique, le sommeil et le mécanisme accompagnant sont perturbés, ce qui diminue donc la possibilité d’affaiblir ces associations fortes. Une séance avec l’EMDR conduirait à une production d’acétylcholine (le vecteur) plus élevée, le flux d’information du cortex vers l’hippocampe serait ainsi stimulé. Grâce à la stimulation, on obtiendrait un effet de décodage des souvenirs semblable à celui qui se déroule durant le sommeil paradoxal.” **
-L’EFT Emotional Freedom Techniques (« Techniques de libération des émotions »):
L’EFT est une autre méthode de traitement rapide du stress post-traumatique.
Elle accumule les découvertes de certains chercheurs comportementalistes occidentaux avec l’acupressure issue des traitements asiatiques millénaires d’acupuncture.
L’acupuncture possède des vertus curatives reconnues maintenant par nos pays occidentaux pour leur efficacité & leur rapidité d’action, en soignant les symptômes somatiques directement à leur source : Sur les méridiens énergétiques.
En l’alliant à des suggestions positives concernant nos buts de soin après des évènements traumatiques, les résultats s’avèrent surprenants en termes d’efficacité & de rapidité.
Il est évident que le but n’est pas de suggérer qu’il est acceptable d’avoir été maltraité/e, violenté/e ou violé/e, mais de soigner les émotions & pensées négatives ou inadaptées présentes toujours liées à la remémoration de ces traumas passés, qui viendraient parasiter notre comportement longtemps après en avoir été victime :
Les sentiments que sont la culpabilité, une mauvaise estime de soi, la peur, la honte, la colère voire la haine, la tristesse, le stress, etc. sont bien plus létales à ceux & celles qui les subissent qu’envers ceux qui les suscitent : Ces sentiments/pensées parasitent finalement notre existence en générant généralement une réponse équivalente de notre entourage direct, ce qui mène à toujours plus d’évènements traumatiques & à un comportement victimaire des plus destructeurs dans le présent. C’est la répétition d’un conditionnement à l’agression.
L’EFT est un traitement « déconditionnant » :
Pour résumer, tout en se remémorant des évènements traumatiques, on stimule des points d’acupuncture déstressant, ce qui finalement « désamorce » la connexion des émotions incontrôlables du passé d’avec ceux du présent, liées uniquement que dans notre esprit, mais ayant des conséquences jusqu’à notre physique où elles se manifestent par des douleurs & maladies. Cette méthode permet de mieux maîtriser ces émotions si souvent envahissantes.
La combinaison de ces deux méthodes en une donne des résultats souvent étonnants, qu’elle soit pratiqué seul/e ou accompagnée d’un thérapeute dans un premier temps, je me joins à de multiples autres qui profitent de cette découverte pour en témoigner. Tout comme la métacognition & la méditation Vipassana (dont je vais parler ensuite), l’EFT utilise différentes méthodes pour un même résultat : La libération de ces émotions parasites envahissantes en les reconnaissant dans un premier temps pour mieux s’en libérer dans un deuxième.
L’EFT a aidé de nombreuses personnes à se sortir tant de douleurs physiques que mentales.
Elle réduit le stress de 25% ce qui est énorme. Lorsque l’on sait que le stress est responsable de maladies, de blocages et de freins au niveau des fonctions cérébrales, vous savez que vous intérêt à le réduire. »
Je tiens à préciser qu’il est important de pratiquer l’EFT durant 21 jours consécutifs, chaque jour, pour voir des changements conséquents espérés dans sa vie.
Une vidéo pour les victimes de viols : https://www.youtube.com/watch?v=wW9C8eLrojA
Les sites officiels pour plus d’informations : http://www.ifpec.org/
http://www.eftunivers.com/testez-l-eft/stress-post-traumatique/
http://technique-eft.com/articles/syndrome-stress-post-traumatique.html
-La méditation Vipassana (Vision intérieure), ou méditation introspective :
La méditation permet de télescoper les pensées parasites qui souvent, viennent pourrir l'esprit du traumatisé : En s'en libérant, on réduit les troubles associés.
A l’instar de la métacognition pour les pensées, elle est un moyen de soigner (entre autres) le stress post-traumatique au niveau des pensées « parasites » (dévalorisantes ou négatives en général), mais aussi des émotions & des sensations (notamment la douleur) submergeant les victimes de Stress post-traumatique, en apprenant à ne plus réagir négativement à nos propres pensées, émotions & sensations négatives : En les notant mentalement durant la session de méditation, qui en portant l’attention vers soi-même va permettre non seulement de ne plus être la victime inconscientes de nos réactions négatives disproportionnées, mais aussi, en n’y portant aucun jugement dépréciateur (je suis nul/le, je ne suis qu’un/e malade/boulet/bon à rien, etc.…) permettra de récupérer progressivement notre identité propre en démontant les processus qui poussent notre pensée à s’auto-alimenter avec des arguments erronés majoritairement venus d’autrui (en l’occurrence nos bourreaux PNM qui
avaient tout intérêt à nous dévaloriser). Elle peut être un bon complément à d’autres méthodes de soins, d’autant qu’elle prend en compte l’aspect spirituel de l’individu.
avaient tout intérêt à nous dévaloriser). Elle peut être un bon complément à d’autres méthodes de soins, d’autant qu’elle prend en compte l’aspect spirituel de l’individu.
La méditation Vipassana est un outil remarquable pour aider à la métacognition en l’absence d’un interlocuteur externe, car elle permet de ne pas s’identifier à nos pensées acquises & nous permet donc de prendre un recul bienfaisant par rapport à nos difficultés émotionnelles.
Comment pratiquer Vipassana ?
La méditation, qui signifie vider son esprit de toutes pensées, peut aussi se pratiquer seul, en se renseignant auparavant sur les méthodes respiratoires qui y aident.
Il existe de nombreux centres de par le monde, dont plusieurs en Europe, qui apprennent les bases de la méditation Vipassana. Il y a différentes écoles qui enseignent des méthodes avec de légères différences qui aboutissent toutes au même résultat, puisque l’esprit humain est le même partout dans le monde, même issu de cultures différentes.
Cette méthode a comme avantage de ne pas avoir à être dépendant de n’importe quel centre d’enseignement car on peut l’appliquer ensuite à la maison, seul/e ou accompagné/e.
La méditation Vipassana, bien qu’issue du Bouddhisme Theravada (à contrario du bouddhisme Tibétain qui est issu d’une tendance réformatrice Mahayana) ne doit pas être confondue avec une secte & peut s’accorder avec toutes religions même l’athéisme, quoique l’école de SN Goenka* soit capable de dérives sectaires, dans le sens où elle vous demandera de ne plus pratiquer que cette méthode & avec d’autres pratiquants de cette méthode uniquement, si vous voulez étendre la durée de vos sessions & l’étude de la méthode. Je le sais pour avoir personnellement passé 6 mois dans le centre français Dhamma Mahi il y a 20 ans.
Il n’y a par contre aucun danger de dérive quelconque si on se contente de prendre le cours de base de 10 jours & de l’appliquer soi-même ensuite.
Pour l’avoir pratiquée aussi, je recommanderai plutôt la méthode de Mahasi Sayadaw**, non seulement pour son côté pratique (des week-ends d’introduction à la méthode sont possibles en France), mais aussi car je n’ai constaté aucune dérive sectaire dans les centres où j’ai fais des retraites.
La méditation Vipassana au centre Dhamma Mahi se fait assis & est composée d’une retraite de silence de 10 jours, où alternent des pratiques respiratoires pour calmer & concentrer son esprit, avec la pratique de vipassana elle-même, qui nous apprend à « scanner » notre corps à la recherche de sensations ou pensées agréables ou désagréables & à ne pas tenter de les juger, mais juste de les noter mentalement pour en prendre conscience & les observer passivement ; le but étant de nous défaire de nos réactions habituelles de jugements & réactions souvent péremptoires & erronés, afin de ne plus accumuler de pensées négatives face à nous-mêmes, & d’arrêter au moins pour un temps le « petit vélo mental » qui plonge si souvent les victimes de stress post-traumatique dans les affres de la dépression, en répétant encore & encore des concepts & des pensées qui nous ont été inculqués par nos bourreaux, notamment dans les cas d’abus dans le cadre familial ou d’une institution. Le dernier jour est consacré à la prière & au pardon envers soi-même & notre environnement.
En arrêtant de se projeter dans un avenir incertain, on évite ainsi l’angoisse, en cessant de ressasser le passé, on évite la dépression. En se focalisant sur l’instant présent sans juger son passé, on peut ainsi reprendre le contrôle de nos émotions voire sensations débilitantes, ce qui permet d’utiliser ensuite la métacognition de manière plus efficace car non affectée par nos émotions & nos pensées issues d’années d’endoctrinement au service de nos abuseurs.
En arrêtant de se projeter dans un avenir incertain, on évite ainsi l’angoisse, en cessant de ressasser le passé, on évite la dépression. En se focalisant sur l’instant présent sans juger son passé, on peut ainsi reprendre le contrôle de nos émotions voire sensations débilitantes, ce qui permet d’utiliser ensuite la métacognition de manière plus efficace car non affectée par nos émotions & nos pensées issues d’années d’endoctrinement au service de nos abuseurs.
Le même processus agit aussi avec la méthode Mahasi Sayadaw, bien que cette méthode utilise un autre point focal de concentration pour l’observation de la respiration, & alterne ensuite la méditation marchée avec celle assise. Je la trouve aussi plus adaptée à notre rythme de vie, permettant ensuite la méditation active dans nos activités quotidiennes.
En Thaïlande notamment, où j’ai fais toutes mes retraites avec cette méthode, il est possible de passer directement à une retraite de plus de 20 jours. Elle en est d’autant plus efficace qu’elle pousse le travail de concentration de l’esprit & de « décrassage » des pensées & émotions toxiques plus loin.
Voici la liste des deux méthodes trouvables en France :
*https://www.dhamma.org/fr/ (Ecole SN Goenka, la plus répandue) &
** http://vipassanasangha.free.fr/ (Ecole de Mahasi Sayadaw)
Ainsi que le village des Pruniers : https://plumvillage.org/fr/retraites/informations-importantes/
Note : Il est à noter que les personnes atteintes de troubles trop importants, qui incluent des abus extrêmes, comme ceux liés aux abus rituels sataniques, ne pourront pas forcément bénéficier de l'EMDR, qui peuvent réveiller des souvenirs trop difficiles à gérer sans assistance d'un psychothérapeute compétent en matière de SSPT (Syndrome du Stress Post-Trauma) et au courant de ce type d'abus extrêmes, ce qui est extrêmement rare en général et inexistant en France.
A ces personnes, je recommanderais plutôt la thérapie Fabian dont vous trouverez la description en lien ici : https://pedopolis.com/2013/09/30/la-therapie-fabian-pour-la-guerison-du-controle-mental-satanique-mk-ultra-et-monarch/, ou le Rebirth, dont je ne peux en parler en détail car je ne l'ai jamais pratiqué, mais décrit ici : https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=rebirth_th
L'aide de la Foi est aussi un atout à prendre en compte dans ces cas comme pour les autres. Je peux en témoigner alors qu'une bonne partie de mes symptômes ont été amoindris depuis que je suis "née de nouveau" en Christ, comme en témoigne aussi l'ancienne esclave sexuelle présidentielle Brice Taylor :
5) Aides et conseils aux victimes d’abus de PNM & de désordres complexes du Stress Post-traumatique :
- Séparez-vous de votre abuseur si possible, mais parlez-en, mettez par écrit votre expérience, n’ayez pas peur de dénoncer les PNM pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font.
- Ne vivez pas dans la peur : Réécrivez le script de votre vie en usant la métacognition et les autres outils mis à disposition dans cet essai pour vous y aider.
- Tâchez de vous entourer de personnes empathiques (Pour les distinguer des PNM, c’est simple : Référez-vous à leurs actes et non à leurs paroles, dont les PNM savent si bien jouer).
- Trouvez un ou une thérapeute formé au syndrome du stress post-traumatique.
- Portez plainte si nécessaire et possible dans les cas de vols, viols et violences qui sont des crimes punis par la loi.
- Trouvez une activité créative, qui vous permettra de vous exprimer autrement que la parole, souvent bloquée dans les pires cas.
- En cas de danger car toujours à leur contact, évitez la discussion : C’est eux qui gagneront toujours en vous manipulant, et en cas de confrontation directe ils pourraient devenir dangereux.
Les choses à ne pas faire :
- Avoir peur des PNM : La peur est inhibitrice et vous empêchera d’agir.
Comme il est difficile de ne pas avoir peur en présence de son abuseur, l’idéal est donc de s’en séparer avant tout, ce qui sera le premier pas vers l’indépendance affective.
Comme il est difficile de ne pas avoir peur en présence de son abuseur, l’idéal est donc de s’en séparer avant tout, ce qui sera le premier pas vers l’indépendance affective.
- Aller jusqu’au bout de l’impasse à cause d’entêtement ou de désir de vengeance :
Tant que vous serez sous l’influence d’un/e PNM, il/elle sera toujours vainqueur, car vos réactions seront sous le même mode opératoire, puisque toujours manipulées.
Tant que vous serez sous l’influence d’un/e PNM, il/elle sera toujours vainqueur, car vos réactions seront sous le même mode opératoire, puisque toujours manipulées.
- Refouler ses émotions : Ultimement elles vous rongeront de l’intérieur, souvent par des maladies psychosomatiques comme la fibromyalgie, la spasmophilie, et même le cancer ou l’épilepsie.
Jouer la comédie en prétendant que tout aille bien ne leurre personne et ne soigne rien.
Les drogues et l’alcool sont un autre moyen de refouler ses émotions, qui provoquera d’autres problèmes additionnels, dont l’addiction et les dégâts causés au corps et à l'esprit déjà endommagé.
- S’isoler : L’isolement rend difficile la pratique de la métacognition par manque de référence extérieure permettant une meilleure objectivité, il va donc renforcer les sentiments de désespoir et d’impuissance en répétant les comportements victimaires, dont l’auto-abus (comme la dépendance aux substances toxiques, l’automutilation, les comportements à risque, etc.…)
Comment aider quelqu’un qui souffre de syndrome complexe du stress post-traumatique ?
- Offrez de l’empathie et du soutien.
- Soyez l’épaule sur laquelle pleurer, l’oreille qui saura entendre.
- Parlez d’expérience (& non pas par Ouï-dire ou approximation).
- Assistez-les avec des solutions pratiques quand c’est approprié.
- Ayez de la patience.
Les choses à ne pas faire :
- Parler en termes généraux : Rien de pire que d’être assimilé à une statistique.
- Tenter de les faire « passer à autre chose » (sans aide) : On ne peut oublier un abus, et même en cas d'amnésie post-traumatique, le corps se souvient très bien, lui.
- Ou pire encore : Tenter de les réconcilier avec leur agresseur.Ou comment rajouter de l'abus à l'abus.
- N’en profitez pas pour les forcer à vos opinions ou dogmes (sachant que les victimes de PNM sont en général très influençables car fragilisées) : Ce sont les meilleurs candidats pour être recrutés par des sectes, ils ont surtout besoin de retrouver leur identité propre et leur valeur d'être humain.
Les désordres complexes du stress post-traumatique peuvent être très handicapants, et représenter un risque plus accru à abuser de substances toxiques comme moyen de supporter les peines émotionnelles (hormis l’alcool, et les drogues illégales, beaucoup de victimes sont de grands consommateurs/trices d’hypnotiques. Tous perpétuent la dissociation cognitive).
Beaucoup de victimes de stress post-traumatique complexe sont susceptibles d’avoir des comportements à risque, quand ce n’est pas autodestructeurs, ce qui explique qu’on les retrouve souvent consommateurs de drogues &/ou prostitués, surtout s’ils/elles l’ont été dans des réseaux depuis l’enfance : Ils/elles pensent pouvoir reprendre le contrôle de leur vie sexuelle en devenant agressif &/ou dominateur eux-mêmes sexuellement. Ils peuvent d'ailleurs adopter les mêmes comportements déviants de leurs abuseurs, en se transformant en leur(s) bourreau(x). C'est ainsi que se perpétue le cercle vicieux de l'abusé abuseur... Dont les réseaux de trafics d'humains sont constitués.
Beaucoup de victimes de stress post-traumatique complexe sont susceptibles d’avoir des comportements à risque, quand ce n’est pas autodestructeurs, ce qui explique qu’on les retrouve souvent consommateurs de drogues &/ou prostitués, surtout s’ils/elles l’ont été dans des réseaux depuis l’enfance : Ils/elles pensent pouvoir reprendre le contrôle de leur vie sexuelle en devenant agressif &/ou dominateur eux-mêmes sexuellement. Ils peuvent d'ailleurs adopter les mêmes comportements déviants de leurs abuseurs, en se transformant en leur(s) bourreau(x). C'est ainsi que se perpétue le cercle vicieux de l'abusé abuseur... Dont les réseaux de trafics d'humains sont constitués.
Leur apprendre que leur corps et leur volonté doivent être respectés, autant par autrui qu’eux-mêmes, est alors une priorité.
Note concernant les trolls & autres agents infiltrés
qui œuvrent au sabotage des milieux militants :
Comme Alain Soral, Stan Maillaud,Maxime Montaut et Wanted Pedo, & des Anons d'Anonymous France (voir l'article sur le même blog) et d'autres... Repérez ces tendances chez les "rebelles de la société" ou sonneurs d'alerte les plus connus, et vous aurez des chances de tomber sur un troll payé par ceux-la même que certains militants dénoncent, dont je vais vous parler aussi car ils en sont les maîtres. :
Pour accéder aux plus hauts rangs des sociétés secrètes et autres sectes sataniques ou lucifériennes, il faut être PNM Ultra, l'élite en est entièrement constituée, c'est en fait une condition sine qua non "d'éducation" (on peut plutôt parler d'élevage) pour remplir le rôle qu'on leur a assigné dès la naissance : Leur apprendre à devenir impitoyable, sans cœur ni sans remords, dès le plus jeune âge.
Ça touche alors au contrôle mental par le biais du traumatismes systématiques, notamment par la sodomie rituelle, appliquée lors de rituels pédosataniques par leur propre famille.
Le but étant de "dissocier"* (faire exploser la personnalité de) la victime, généralement avant l'age de 3 ans, en plusieurs alter-égos dont ils pourront disposer à leur guise en les programmant, comme de véritables disques durs, et leur faire faire des choses qu'ils ne feraient donc pas autrement :
Prostitution, viols, assassinats, espionnage, trolling,
harcèlements, etc, etc... (voir le témoignage de Brice Taylor,
"l'ordinateur vivant personnel" de Kissinger, l'homme derrière tous les
gouvernements américains, à l'instar d'un Breczinski ou Soros.
Certains
de ces trolls, en plus d'être des PNM avérés, le sont donc aussi à
cause des abus subis, qu'ils vont faire ensuite subir à d'autres dès que
l'opportunité s'offre.Dissociés, ils seront ainsi placé sur
l’échiquier (symbole maçonnique) sur lequel ils doivent agir, et dans
le secteur militant anti-pédocriminel, il y en a un paquet, contrairement à ce
que la majorité aurait tendance à penser : Détrompez-vous c'est une
pratique quasiment aussi courante que le nombre de victimes de ces
réseaux.
Ces victimes de réseau ou d'abus rituels, à moins d'un miracle qui les aiderait à s'en sortir à peu près correctement de ces réseaux qui sont à VIE, sont en général toujours liées à leurs abuseurs/contrôleurs et sont toujours dirigés par eux, on ne peut donc leur accorder la moindre confiance, car même "éveillées" elles peuvent retomber sous leur contrôle très facilement.
Seule une véritable déprogrammation avec une méthode type thérapie Fabian ou du Rebirth* combinées éventuellement avec certains citées plus haut pourraient y parvenir, une fois encore avec beaucoup de patience, les résultats variant suivant l'étendue et la complexité de la programmation, sachant qu'un agent secret/assassin, un politicien ou une célébrité aura une programmation bien plus poussée qu'une simple esclave sexuelle bien entendu. *Qui peuvent tous deux aussi soigner de simples victimes de viols et de violences très jeunes ou de manière répétées.
On comprend donc aisément que la majorité de ceux-celles qui s'en soient miraculeusement sorti-e-s soient croyants, et en particulier Chrétiens, ce qui n'a pas forcément quelque chose à voir avec une quelconque religion, mais un lien direct avec Dieu, le divin.
Note : Il est permis de partager cet article, mais seulement dans son intégralité, sans déformation du texte, et en mentionnant la source. Merci
Ces victimes de réseau ou d'abus rituels, à moins d'un miracle qui les aiderait à s'en sortir à peu près correctement de ces réseaux qui sont à VIE, sont en général toujours liées à leurs abuseurs/contrôleurs et sont toujours dirigés par eux, on ne peut donc leur accorder la moindre confiance, car même "éveillées" elles peuvent retomber sous leur contrôle très facilement.
Seule une véritable déprogrammation avec une méthode type thérapie Fabian ou du Rebirth* combinées éventuellement avec certains citées plus haut pourraient y parvenir, une fois encore avec beaucoup de patience, les résultats variant suivant l'étendue et la complexité de la programmation, sachant qu'un agent secret/assassin, un politicien ou une célébrité aura une programmation bien plus poussée qu'une simple esclave sexuelle bien entendu. *Qui peuvent tous deux aussi soigner de simples victimes de viols et de violences très jeunes ou de manière répétées.
On comprend donc aisément que la majorité de ceux-celles qui s'en soient miraculeusement sorti-e-s soient croyants, et en particulier Chrétiens, ce qui n'a pas forcément quelque chose à voir avec une quelconque religion, mais un lien direct avec Dieu, le divin.
Note : Il est permis de partager cet article, mais seulement dans son intégralité, sans déformation du texte, et en mentionnant la source. Merci
Danick Metaluna, publié le 10/17/2017 & révisé le 04/10/2021
Très bon article, merci pour votre travail
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour votre retour. En espérant que ça aide.
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